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Travaux de réaménagement du siège de l'association,
janvier 2012 =>

Arreglos del local, enero 2012. =>


Vente de matériel scolaire, février-mars 2012. En 6 semaines, nous avons fait  un bénéfice d'environ 2600 soles, ce qui correspond à 3 mois de rémunérations  pour le groupe des 5 femmes qui travaillent au magasin.


Campaña escolar, febrero-marzo 2012. En 6 semanas, sacamos un beneficio de  2600  soles, lo que corresponde a las remuneraciones de 3 meses para las 5  señoras que  trabajan en la tienda.
Les 2 professeures d'éducation manuelle (Kendy et Léonore) fabriquent le  prototype du travail que réaliseront les élèves pour la fete des mères et la  fete des pères 2012. Et les 2 professeures de lecture (Diana et Evelyn)  préparent leurs fiches en s'inspirant des modèles que les maisons d'édition  proposent sur internet.

Las 2 profesoras de educación manual (Kendy y Leonor) fabrican los  prototipos de  los trabajos que realizarán los alumnos para el día de la madre y  el día del  padre 2012. Y las dos profesoras de lectura preparan sus  fichas,  ayudándose con los materiales que cuelgan las editoriales en  internet.
Journée d'intégration avec tous les membres de l'équipe: les 4 professeures, les  5 vendeuses du magasin, la psychologue et moi, mars 2012
Jornada de integración con todos los miembros del equipo "Altiplano": las 4  profesoras, las 5 señoras encargadas de la tiendita, la sicóloga y yo; marzo 2012.
Justine et Aurélie, volontaires francaises en lien avec une autre  association  franco-péruvienne appelée "Red Ayni" ("Réseau entraide", en  espagnol et  quechua) choisissent du matériel pédagogique pour la ludothèque du  centre de  santé qu'elles animent tous les mercredis et jeudis. Elles ont loué la chambre  voisine à celle d'Agnès. Elles dînent donc ensemble 2 fois par semaine, l'occasion  pour elles d'exprimer toutes les difficultés (beaucoup) et satisfactions  (aussi) liées à leur expérience. Justine, étudiante de Sciences  Po Lyon, s'en va  en juin. Aurélie, étudiante en anthropologie, en juillet. 
Justina y Aurelia, voluntarias francesas que vienen para otra asociación
  franco-peruana llamada "Red ayni" escogen material lúdico para la ludoteca del   centro de salud que animan todos los miércoles y jueves. Han alquilado el  cuarto  vecino a el de Agnès. Cenan, pues, dos veces por semana juntas, oportunidad  para  ellas de expresar las dificultades (muchas) y satisfacciones (también) ligadas a  su experiencia. Justina se va en junio y Aurelia, en julio.
Nous offrons un nouveau service au magasin, cette année: la prise de photos   d'identité à un prix défiant toute concurrence. 95% de notre clientèle est   composée par les élèves du Fe y Alegría, ce qui me permet de revoir et de  discuter avec mes anciens élèves et leurs mamans. Les femmes ont du mal à manier  l'appareil photo: un apprentissage difficile pour elles... et pour  l'appareil! Mais me voilà avec une collection de portraits d'enfants très  chouette!

Ofrecemos un nuevo servicio en la tiendita, este año: la toma de fotos
carnet, a  precio súper económico. El 95% de nuestra clientela está compuesta  por los  alumnos del Fe y Alegría, oportunidad para mí de compartir con mis ex-alumnos  y sus mamás. Las señoras de la tienda tienen dificultad para aprender a usar la  cámara: sufren tanto ellas como la cámara! Pero tengo una  colección de retratos  infantiles lindísima!
Hemos pasado gran parte del mes de marzo  negociando las
condiciones de nuestro apoyo  con los docentes y padres de  familia. En efecto,  exigimos una participación  económica simbólica de parte de  los beneficiarios: 12 soles anuales en  manualidades y 3 soles por año en  lectura, suma que cubre la compra de los materiales para la elaboración de  trabajos manuales en el primer caso, y las fotocopias de las fichas de  aplicación en lectura. En nuestra pequeña exposición a los padres de familia,  comparaba nuestra acción a una mototaxi
(vehículo de mayor uso en nuestras  zonas), la primera rueda
correspondiendo a la institución educativa representada  por el tutor de cada salón, la segunda rueda, a las familias, y la tercera, a  nosotros: "Si las 3 ruedas no están  fuertemente amarradas al armazón de la  moto", les decía, "el proyecto no puede  avanzar". Las discusiones han sido  fuertes en los salones, porque algunos padres de familia y/o padres de familia  exigen la gratuidad de nuestros servicios, acostumbrados a los programas de  asistencia de grandes ONG,  fundaciones, iglesias o entidades políticas. Resultados: en Casuarinas, de 13
salones de  3ero a 6to grado, 7 firmaron el contrato de participación que les habíamos  llevado; y en Hiroshima, 7 de 14. Si esta escasa respuesta puede  asimilarse a un  fracaso,  pienso más bien que introducimos una forma poco común de intervención horizontal y participativa donde los beneficiarios no se receptores "pobres" y  por consecuencia pasivos, pero actores de una dinámica a
la cual han escogido involucrarse.
Rentrée des classes, mars 2012. Nous allons intervenir cette année dans les deux  mêmes établissements que l'an dernier: "Casuarinas", pour la 3ème année consécutive, et "Hiroshima", pour la 2ème année consécutive. Il y a cette année  deux binômes dans chaque établissement: Léonore et Evelyne à Casuarinas, et Kendy-Diana à Hiroshima. Dans chaque binôme, l'une se charge de la lecture et de  la ludothèque, et l'autre, des activités manuelles. Le tout, en primaire. La
  psychologue, Margarita, qui travaille avec nous depuis 2007 et souhaite arrêter  fin 2012, ne vient qu'une fois par semaine (les mardis) à Casuarinas: de 8 à 17h, elle recoit individuellement et gratuitement les élèves de primaire et de secondaire dérivés par les enseignants, ou les parents qui ont pris RV et paient  5 soles (1,5 euros, négociables) la consultation. Et de 17 à 18h30, nous animons  ensemble les Écoles des parents dont le but principal est de faire de la  prévention à la violence familiale. Mais avant d'intervenir dans les classes,  nous avons, durant le mois de mars, négocié les conditions de notre soutien 
avec les instituteurs et les parents d'élèves.  Car nous exigeons une participation financière symbolique de la part des  bénéficiaires: 3,6 euros par an en travaux manuels et 0,90 euros par an en lecture, somme qui couvre l'achat des fournitures pour l'élaboration des  travaux manuels dans le premier cas,  et les photocopies des fiches d'application en lecture. Dans notre petit exposé aux parents d'élèves, je comparais notre action à un tricycle motorisé (principal véhicule de transport dans nos quartiers), la première roue correspondant à l'établissement, représenté par le tuteur de chaque classe, la deuxième, aux familles, et la troisième, à nous: "Si les 3 roues ne sont pas solidement attachées à la carcasse du tricycle", leur disais-je, "le projet ne peut pas fonctionner". Les  discussions ont été ardues dans les classes car certains parents et/ou  enseignants exigent la gratuité de nos services, habitués aux programmes d'assistance de grandes ONG, fondations, églises ou entités politiques. Résultats: à Casuarinas,  sur 13 classes de CE2 à la 6ème, 7 ont signé le contrat de  participation que  nous avions préparé; et à Hiroshima, 7 sur 14. Si ce peu de répondant peut  paraître un échec, il me semble au contraire que nous introduisons une forme  inhabituelle d'intervention horizontale et
participative, où les bénéficiaires  ne sont pas des receveurs "pauvres" et donc  passifs, mais des acteurs d'une  dynamique à laquelle ils ont choisi d'adhérer. 
 
 
A Casuarinas, 6 classes sur 7 vont travailler avec nous, de même à Hiroshima. 3  classes de CE1 vont faire des travaux manuels et 9 classes de CP et CE1 vont  profiter de la ludothèque. La formule que nous proposons est la suivante: une  fois par semaine, sur les heures de lecture, une institutrice d'Altiplano emmène  la moitié de la classe à la ludothèque, ce qui permet à l'institutrice titulaire  de faire une classe de lecture plus vivante avec l'autre moitié de la classe. Au  bout de 45 minutes, on échange: le groupe qui a joué va lire, et celui qui a lu  va jouer. À Casuarinas, nous utilisons la même cabane que les
années  précédentes.
Photos: tri des jeux pour les répartir de manière equitable entre les 2
écoles,  démonstration de l'utilité du matériel à un groupe d'institutrices,  transfert du  matériel du siège de l'association aux écoles. Début des activités.  Démonstration à un groupe de parents.
Tanto en Casuarinas como en Hiroshima, 6 de cada 7 salones van a trabajar con  nosotros. Tres salones de segundo grado van a hacer manualidades y 9 salones de primer y segundo grados van a entrar a la ludoteca. La fórmula que proponemos es  la siguiente: una vez por semana, en las horas de lectura, una profesora de la  asociación lleva a la mitad del salón a la ludoteca, lo que le permite a la  profesora tutora realizar una clase de lectura más vivencial con la otra mitad  de la clase. Después de 45 minutos, intercambiamos: el grupo que ha jugado se
va  a leer y vice-versa. En Casuarinas, usamos la misma cabaña que los años anteriores.
En las fotos: reparto del material entre las 2 escuelas, demostración de la "utilidad" del juego a un grupo de profesoras y a un grupo de papás,
  transferencia del material desde la sede de la asociación a las escuelas.
Inicio  de las actividades.
16 mars 2012: dans le cadre de la quinzaine de la francophonie de
  Lima, soirée de chanson francaise dans un bar de Miraflores, organisée en  collaboration avec l'antenne du Ministere des Affaires Etrangères pour le  volontariat: "France Volontaires". L'entrée était gratuite, avec la possibilité  d'apporter des vêtements pour le magasin solidaire (type Emmaus) d'Altiplano.
La  réponse du public a été mitigée, mais ce fut une première expérience. Les 4  institutrices d'Altiplano interviennent dans les classes de lundi à jeudi. Le  vendredi, nous nous retrouvons au siège de l'association où elles consacrent  leur matinée à corriger, passer les notes dans leurs registres, préparer du  matériel, faire des comptes, etc... Sur la photo: elles apprennent les règles  des différents jeux qu'elles transmettent ensuite aux enfants, et se partagent
  du matériel (on en a passablement, et de très bonne qualité: merci!) A la  ludothèque, la consigne est de n'intervenir qu'à la demande des enfants ou en  cas de conflit, leur laisser choisir leur activité, leur place, leur compagnon  de jeu. Ils doivent simplement se laver les mains en entrant et ranger le  matériel qu'ils ont utilisé avant de sortir un nouveau jeu.
Réunions de parents, écoles des parents,


reuniones de papas, escuelas de padres....
16  de marzo 2012: en el marco de la quincena de la  francofonía de Lima, noche de  canción francesa en un bar de Miraflores,  organizada en colaboración con la  antena del Ministerio de las Relaciones Exteriores para el Voluntariado: "Francia Voluntarios". La entrada era gratuita,
con la posibilidad de traer ropa  para la tienda solidaria (tipo Emaus) de  Altiplano. La respuesta del público ha  sido mitigada, pero fue una primera
experiencia. Las 4 profesoras de Altiplano  intervienen en los salones de lunes  a jueves. Los viernes, nos encontramos en la  sede de la asociación donde corrigen, pasan notas, preparan materiales, hacen  cuentas, etc... En la foto: 3 de ellas aprenden las reglas de diferentes juegos  que transmitirán luego a los niños, y se comparten materiales (tenemos bastante  y de excelente calidad: ¡gracias!) En las ludotecas, la consigna es no  intervenir, salvo si lo piden los niños o en caso de conflicto. Así pueden  escoger su actividad, su lugar en el ambiente, su compañero de  juego.  Simplemente deben lavarse las manos al entrar y guardar el material que  utilizaron antes de sacar otro.

Festival du volontariat 10 Novembre 2012.

A l'initiative de France Volontaire, s'est tenu à Lima le 1er festival du volontariat et  nous y avons été convié. Au programme, stands, conférence sur le thème du volontariat et... concours du meilleur stand ! Cela a été l'occacion pour nous de rencontrer d'autres associations aux buts parfois similaires. Au total, 27 organisations pour la plupart franco-péruviennes étaient présentes. Nous avons pu échanger et faire connaissance. Pour animer notre stand, nous avons convié 3 habitants de Pachacutec qui ont pu vendre leur production (tissus, objets en perles ou en cuir...) aux visiteurs, dont notamment M. L'Ambassadeur !  Nous avons ainsi pu faire connaitre l'association à Lima et distribuer des flyers pour la grande collecte de Noël que nous organisons actuellement (plus de détail bientôt ! )
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